Ce qui est joli à la mer c’est…
Lo bonito en el mar es…
…que miramos el cielo.
Clic-clac et le grandiose est dans la boîte.
¡Clic! Y lo grandioso está plasmado en la foto.
Cosas milagrosas dignas de las películas bíblicas de Cecil B. DeMill.
¡Dios mío! ¡Qué bonito!
Des choses miraculeuses dignes des films bibliques de Cécil B. DeMill.
Mon dieu ! Que c’est joli !
Como en la época en la que pensábamos que existían dioses, algo más grande que nosotr@s y responsable del mundo en lo fundamental.
Comme à l’époque où on pensait qu’il existait des dieux, quelque chose de plus grand que nous et responsable du monde pour l’essentiel.
Como en la época en la que pensábamos que éramos demasiado pequeños e inocentes para influir en las nubes.
Comme à l’époque où nous pensions qu’on était trop petits et innocents pour influencer le cours des nuages.On peut redevenir irresponsable. Le ciel réfléchi la terre ! Ou la terre le ciel, si on veut.
Podemos volver a ser irresponsable. El cielo refleja a la tierra ! O la tierra al cielo, si queremos.
Le ciel et la mer..
Cielo y mar…
…no son más que…… qu’illusions.
..ilusiones.
Evidencia sosegadora de lo primario, sencillo, eficaz, sin complicaciones
Bleu, blanc, mauve, vert.
Évidence rassurante du primaire, du simple, de l’efficace, sans complication.
Y florecitas blancas como nubes de lo verde.
Et des petites fleurs blanches comme des nuages du vert.
Être si petit c’est rassurant. Les formes des nuages sont infinies.
Ser tan pequeño sosiega. Las formas de las nubes son infinitas.
Los colores tampoco tienen límites.
Les couleurs sont aussi sans limites.
Monsieur a raison. À regarder la mer, on ne s’ennuie jamais.
Usted tiene razón. Uno nunca se aburre si contempla el mar.
Pingback: Dans l’île de Ré – en la isla de Ré (1/2) | Un flâneur à Poitiers