À Lisbonne cet été 2012, j’ai cru voir :
Como lleva muchas referencias a la vida de mi ciudad y a la política francesa, no lo pongo en castellano
Notre révérend maire Claeys en pleine discussion pour une laïcité sereine :
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La partie le plus radicale de la droite négociant un programme avec une femme inconnue (mais qui est-elle ?) :
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(« les valeurs d’avril (avril 1974, révolution portugaise dite des œillets) sont le futur de la jeunesse, adhère aux jeunesses du PCP »)
(« murs blancs, peuple muet »)
(« 1% s’enrichissent, 99% s’appauvrissent »)
(« grève générale »)
(« bien que la crise a été, utopie »)
(« la crise est passée de mode, utopie »)
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Ce qui nous arrivera si on ne suit pas la politique de rigueur budgétaire :
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Que le suffrage universel c’est cool et le drapeau rouge c’est enthousiasmant :
À Lisbonne j’y ai vu :
J’y ai vu des présences du BLOCO (bloc de gauche). Il semblerait que là-bas, pas d’affichage sauvage mais des panneaux planté en terre et qui ne sont pas recolés
(« La recette grèque c’est la ruine. combats le gouvernement de la troïka. Appauvrir n’est pas la solution »)
Des autocollants réalistes :
(« mon père est chômeur et ma mère va perdre son 13° mois et des jours de congés. Avec la réduction des bourses d’étude l’an prochain je vais devoir arrêter d’étudier. Pour ces raisons le 24 novembre, je fais la grève ! Utilise ta force »)
Un malin ou une maligne, a gravé sur le logo à la porte du local du Bloco (près du métro Rato) : « PC fino » qui peut se traduire par « Parti communiste malin/fin » :
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J’y ai vu aussi des caricatures des zompolitics portugais :
L’ancien premier ministre PS :
Les autres je ne connais pas :
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Une conception d’Adam et Ève vachement plus sympa que l’habituelle:
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Enfin, last but not least, à Lisbonne, même là où on marche, c’est beau. Pour nous la capitale portugaise ça a été le plus souvent ça :
Toutes les rues, aussi loin que l’on est allé, sont comme ça.
Et parfois même comme ça :
Première constatation : on peut faire des pavés qui ne sont ni réguliers (quelque chose d’humain, quoi), ni aveuglant sous le soleil, ni monotones.
Bref, tout le contraire des travaux « Poitiers, Cœur d’agglo » de notre révérend maire Alain Claeys qui aime quand ça fait propre.
« C’est facile d’entretien ! » disait ma mère.
Comme le formica.