Nous avions choisi d’aller au nouveau « musée d’art moderne » qui vient d’ouvrir à Fontevraud, à 1h15 de Poitiers.
Habíamos decido ir al nuevo « museo de arte moderno » que acaba de abrir en Fontevraud, a 1h15 de Poitiers.
Pendant plus de soixante ans, Martine et Léon Cligman ont rassemblé des peintures, des dessins et des sculptures d’artistes des XIX° et XX° siècles, ainsi que des antiquités et des objets extra-européens (Afrique, Océanie, Asie, Amériques). Puis ielles ont tout donné à l’État et à la Région des Pays de la Loire. Pour tout savoir le site du musée c’est là.
Durante más de 60 años, Martine y Léon Cligman juntaron pinturas, dibujos et esculturas de artistas del siglo XIX y XX así como antigüedades y objetos extra-europeos (África, Oceania, Asia, Américas). Luego lo donaron todo al estado y la Región « Pays de la Loire ». Para saberlo todo sobre el museo es aquí (es en francés e inglés).
On y allé par curiosité. Mais nous savions qu’il y aurait des Derain ( beaucoup), Maurice de Vlaminck, Raoul Dufy, Bernard Buffet et Chaïm Soutine, des sculptures d’Auguste Rodin et de César, des dessins de Degas, etc.
Fuimos por curiosidad pero sabíamos que habría pinturas de Derain ( muchas), Maurice de Vlaminck, Raoul Dufy, Bernard Buffet y Chaïm Soutine, esculturas de Auguste Rodin y César, dibujos de Degas, etc.
Eh bien ce musée vaut vraiment le détour parce qu’on y voit aussi des artistes que, moi au moins, je ne connaissais absolument pas et qui valent le coup d’oeil. Par exemple un peintre qui m’a bluffé c’est un certain Jean Pougny. Quelle inculture délicieuse que la mienne malgré tant de musées arpentés (« délicieuse » car il reste ainsi tant de bonnes surprises possibles).
Pues aquel museo sí que vale la pena porque allí vemos artistas que yo por lo menos no conocía de nada. Un pintor que me ha llamado mucho la atención es por ejemplo Jean Pougny. Qué incultura más deliciosa la mía a pesar de tantos museos recorridos (« deliciosa » ya que me quedan así tantas buenas sorpresas posibles).
En plus le musée suit les traces d’André Malraux en faisant se côtoyer des œuvres de pays et d’époques différentes, ce qui provoque une réflexion esthétique. Et il y a de la place pour goûter chacune des œuvres présentes.
Además el museo sigue las huellas de André Malraux ya que van juntas obras de países y épocas distintos, lo que provoca una reflexión estética. Y hay sitio para saborear cada una de las obras presentes.
On ne voulait pas revenir à l’abbaye qu’on avait visité il y a peu (voir mon article ici) mais au diable la raison ! On y est retourné et on a eu… raison.
No queríamos volver a la abadía que habíamos visitado hace poco (ver aquí mi artículo) pero nos lanzamos. Y ha sido todo un acierto.
D’abord les œuvres exposées dans l’abbaye changent :
Primero la obras dentro de la abadía cambian:
Les bâtiments en travaux de la dernière fois sont visibles :
Los edificios anteriormente en obras ahora se pueden ver:
Et je me suis rendu compte que j’aimais beaucoup cette unité de couleur de pierre qui se mêle à une architecture changeante au fur et à mesure des restaurations et constructions, avec plein de ruptures de style et de recoins :
Y me di cuenta que me gustaba mucho aquella unidad de color de la piedra que se mezcla con una arquitectura variopinta que fue cambiando según las restauraciones y las construcciones, con muchas rupturas de estilo y llena de recovecos:
Et puis de toute façon, l’œil change même si le modèle reste le même. Alors pourquoi s’en priver ?
Y de todas formas, el ojo cambia incluso si se queda idéntico el modelo . Pues ¿Por qué privarse de algo así?